Miketz


Articles publiés dans cette rubrique

lundi 23 décembre 2024
par  Paul Jeanzé

Le rêve

Le début de notre paracha retient notre attention pour une raison bien particulière : la place prise par le rêve dans l’orientation déterminante de l’histoire juive. Déjà, dans la paracha précédente, les deux rêves de Yosseph furent à l’origine de la haine de ses frères et de son séjour forcé en (…)

dimanche 17 décembre 2023
par  Paul Jeanzé

Irai-je au bout de mes rêves ?

L’emprisonnement de Joseph s’achève lorsque Pharaon fait un songe : il est au bord du fleuve, sept vaches décharnées y dévorent sept vaches belles et grasses. Puis un second : sept épis de blé maigres et brûlés y avalent sept épis sains et pleins. Sur le conseil de l’échanson, Joseph est alors (…)

jeudi 23 décembre 2021
par  Paul Jeanzé

Refuser ou accepter le monde ?

Le monde est un rêve explique Rav Shlomo Yosseph Zévine, mais un rêve qui nécessite une interprétation. Monde en hébreu se dit "olam" terme que nos Maîtres rapprochent de la racine verbale qui signifie "cacher".
Pour reprendre la terminologie de Platon le monde est divisé en deux domaines : le (…)

samedi 19 décembre 2020
par  Paul Jeanzé

Protéger l’étude

La paracha Miketz débute avec le récit de deux rêves que fit le Pharaon. Deux rêves dont la singularité perturbe le monarque, d’autant plus que personne n’est en mesure d’en donner une signification. Seul Yosseph lui en révélera le sens : des années d’abondance et de famine se profilent dans (…)

jeudi 13 décembre 2012
par  Paul Jeanzé

Joseph et la théorie des cycles

En 1862, le Docteur Clément Juglar (1819-1905), médecin et économiste français, publie Des crises commerciales et de leur retour périodique en France, en Angleterre et aux États-Unis dans lequel il met en relief l’existence d’un cycle économique d’une durée d’environ de 8 à 10 ans au cours (…)

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Une année dans tous les sens

Mercredi 15 janvier 2025

Une nouvelle année commence, et fidèle à mes habitudes depuis dix ans maintenant, se termine une année de poézies, entre bon sens et contresens. C’est également la fin du triptyque en "sens". Pour les trois années à venir, j’espère aller au fond des choses, tout en évitant l’overdose et les pensées moroses.

Bien à vous,
Paul Jeanzé